Francisco Tropa , Résidence de mars à mai 2015
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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FranciscoTropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
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Francisco Tropa, Atelier Calder, photo Guillaume Blanc
Francisco Tropa est né en 1968, il vit et travaille à Lisbonne.
Francisco Tropa élabore des installations complexes, associant différents médias : sculptures, peintures, dessins, photographies, projections d'images, performances multipliant les références à la littérature, l'histoire de l'art, la science.
L'utilisation de tous ces médias, lui permet de concentrer sa démarche artistique autour de la sculpture en la revisitant à travers des sujets tels que le corps, la mort, la nature, le paysage, la mémoire, les origines ou le temps.
Francisco Tropa crée une oeuvre qui se dévoile au fur et à mesure, ayant des sens cachés, qui ne se limite pas à l'évidence de ce qui est visible.
À l'Atelier Calder, Francisco Tropa, a poursuivi le développement de son projet intitulé TSAE (Trésors Submergés de l'Ancienne Egypte), vaste installation hétéroclite et cosmogonique. La nouvelle partie élaborée à l'Atelier Calder, se compose de trois ensembles d'oeuvres. Tout d'abord, « Le Songe de Scipion », évoque la vision du cosmos révélée à Scipion lors d'un rêve et raconté par Cicéron. Francisco Tropa suggère à son tour, cette organisation cosmique, à travers des sculptures en métal symbolisant le soleil, la lune et la terre.
Elles sont à la fois poétiques et surprenantes jouant sur la perception des volumes suspendus et leurs mouvements.
« Les Antipodes », sculptures réalisées dans différentes matières (bois, marbre, bronze métal...), aux formes géométriques simples, mais leur manipulation démontre un jeu architectural complexe offrant des possibilités d'installations et de configurations infinies.
Enfin, « Scripta » réunit sur le sol de l'atelier un ensemble d'objets et leurs répliques en bronze, formant un paysage imaginaire.
Francisco Tropa a représenté le Portugal à la Biennale de Venise en 2011. Il a participé à la Biennale d'Istanbul, à Manifesta en 2000, à la Biennale de Melbourne et à la Biennale de Sao Paulo (1999). En 2013, il a réalisé une performance au Palais de Tokyo « Gigante », plusieurs expositions personnelles lui étaient consacrées en 2013 : à La Verrière, Fondation d'entreprise Hermès : « TSAE, Trésor Submergés, de l'Ancienne Egypte », à la galerie Gregor Podnar à Berlin et « Arenaire » à la galerie Jocelyn Wolff (2014) qui le représente en France.
En parallèle de sa résidence à Saché, le Centre d'art contemporain, les Moulins de Paillard à Poncé sur le Loir (72),présentait une exposition personnelle de Francisco Tropa du 4 avril au 7 juin 2015. moulinsdepaillard.wordpress.com
Le Musée Régional d'art Contemporain de Sérignan (Languedoc-Roussillon) présente une exposition personnelle de Francisco Tropa du 28 juin au 30 août 2015. Les oeuvres produites à Saché figureront dans cette exposition.
Francisco Tropa est représenté en France par la Galerie Jocelyn Wolff.